c'est-à-dire, je comprends les réalisateurs français qui vont tourner à hollywood : ce n'est pas anodin qu'ils réalisent souvent leur meilleur film une fois là-bas, j'ai le sentiment que ça les délivre de quelque chose, du poids de quelque chose qui colle ici, qui empêche, qui encombre. (quoi ? la géographie, la langue, les acteurs, quoi ?)
regarde : richet, gans, aja.
la vraie délivrance, c'est les états-unis.
(on dit deliverance.)
("he knelt to give thanks for his deliverance." je ne sais plus où j'ai lu ça.)
samedi 24 février 2007
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