mercredi 7 février 2007

Brûlure

c'est ça, me disais-je, c'est exactement ça, attendant un métro à barbès, ça doit brûler, françois, quand il est là (à l'écran), et je ne sais pas pourquoi je pensais à la danse, au moment où il danse, je me disais il faut que ça brûle, la trace de françois dans le film, c'est comme une brûlure, ça doit marquer le spectateur, il y a de l'incandescence chez ce personnage, ça ne m'étonne pas qu'il disparaisse, qu'il rêve qu'il se consume, il est déjà en feu, déjà brûlé.

note pour gaspard : quand tu danses, c'est comme du feu.

et aussi (rien à voir), une chose que le médium devrait dire :
"les mots, ça veut dire des choses, mademoiselle."

(mais penser au médium me fait de la peine - cf. le post précédent).

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